Le contexte.

« Tous auront en tête ces sorciers qui suivent les règles pré-établies par les différents ministères du monde, et cela dans un certain idéal de paix. Néanmoins, cette idée même n'est elle pas contraire aux forces qui sont jeu au sein de notre monde ? Ne serait-il pas plus parfait qu'un endroit imparfait au yeux de ces autres qui nous jugent ? Ne vous sentiriez pas mieux dans un lieu où votre magie ne serait pas sous les dictas des interdits ? Ne sommes nous pas des sorciers, et notre destin n'est-il pas d'user de la magie comme bon nous semble ? »


La colère grondait depuis déjà bien longtemps au sein de la Louisiane. Les lois de plus en plus restrictive dans le milieu de la sorcellerie avait mis à mal les libertés des sorciers et sorcières qui y résidaient. Tout un chacun prônait un héritage qui leur venait d'un temps immémorial et qui n'avait pas lieu de se tenir aux lois. La répression exerçait par le MACUSA afin de faire taire ce vent de révolte avait été violent si tant est que la population en gardait encore des stigmates. Néanmoins, l'effet escompté n'avait pas été le bon.

La colère s'était muée en fureur, et un groupuscule de sorciers inconnus s'en était emparé, l'avait amplifié, peut être même magnifié au regard de ceux qu'ils commencèrent à réunir autour d'eux. Si bien qu'en peu de temps ce groupuscule se dota d'une force politique certaine, et d'une communauté d’irréductibles qui commencèrent à donner de la voix. Et les révoltes reprirent de plus belle avec à leur tête les leaders de ce mouvement, ils en vinrent à rejeté le gouvernement en place, brûlant les symboles représentatifs du MACUSA, et bientôt la Louisiane fit sécession.

Une tentative de reprise de pouvoirs fut mise en place par le congrès mais il se solda par un nouvel échec. La population avait trouvé en ce nouveau gouvernement un libérateur face au joug de la république sorcière. On leur donnait enfin voix au chapitre, seulement rien n'est idéal, et sans qu'ils ne s'en rendent compte tout allait lentement mais sûrement dériver vers une tyrannie bien plus sombre encore que tout ce qu'ils avaient connu jusqu'alors. blabla